La fin du string et le succès du shorty

Les années « ficelle » se terminent avec l’arrivée d’un nouveau phénomène, à savoir le shorty, la culotte, le boxer. Et ce ne sont pas les hommes qui diront que ça leur déplait car ils sont près de 45% a estimé préférer une femme en shorty plutôt qu’en string. Pourquoi ce changement ? D’où vient cette nouvelle tendance ? Avec le shorty, la lingerie s’arrête à la moitié des fesses bien souvent et donne un aspect très valorisant des fesses. Alors que le string, grand vedette des années 90 et 2000 – celui-là même qui sortait du jean avec pas toujours l’élégance au rendez-vous – montrait tout ou presque, le shorty semble faire craquer de plus en plus de femmes et d’hommes par la même occasion. Le string se portait notamment pour provoquer, c’était l’arme absolue pour tous les vêtements près du corps car on devinait à peine que l’on avait des sous-vêtements et de ce que l’on pouvait voir ou deviner, cela suffisait amplement à libérer les imaginations les plus audacieuses.

Une lingerie pour toutes les femmes

Le shorty, lui, s’adresse à toutes les femmes, à toutes les tailles et c’est sûrement un des secrets de son succès : en 2013, on souhaite être bien dans sa peau et porter tous les vêtements que l’on veut tout en restant féminines. Le shorty est discret, pratique, élégant aussi bien sous un pantalon ou une jupe. Quel que soit le style que l’on adopte, il y a obligatoirement un shorty qui convient aux goûts et aux couleurs de chacune.

Contrairement au string, le shorty souligne les formes sans les montrer de manière ostentatoire, il modifie la silhouette sans tromper. Il existe différents shortys (fluide, style satin, en soie ou en satin, avec dentelles ou tulle, etc.) aux couleurs diverses et variées (rose pastel, bleu ciel, gris perle, uni ou avec motifs). Le shorty, contrairement au string, ne laisse « aucune trace » de lingerie à travers les vêtements moulants, il permet de cacher ou de mettre en valeur les rondeurs et les formes avantageuses de chacune.